Brian Gentile, PDG de Jaspersoft, signe une tribune pour Le Journal du Net sur la transformation radicale que connaît actuellement le monde de la Business Intelligence.
Brian Gentile poursuit : « Aujourd’hui, les utilisateurs professionnels (y compris les responsables) veulent pouvoir faire plus de choses eux-mêmes et moins dépendre des analystes professionnels – qui à leur tour se sont spécialisés, en s’attachant davantage à identifier de manière proactive les tendances et les opportunités au lieu de mettre en place des rapports à la demande.Ces rapports ont également changé. Ils ne sont désormais plus statiques, mais plutôt hautement interactifs et permettent aux utilisateurs individuels d’y accéder via le web, de les explorer et de les modifier comme bon leur semble.L’analyse a également changé. Aujourd’hui, des outils sophistiqués de visualisation des données -généralement intégrés au sein d’une application ou en mémoire par simplicité d’utilisation – offrent un aperçu rapide des informations nécessaires ».
Toujours selon Brian Gentile : « Avec la consumérisation de l’accès à l’information et de son interactivité, de nouvelles méthodes améliorées ont été mises en place pour permettre aux utilisateurs de combiner, de partager et d’interagir avec des données. Les utilisateurs peuvent désormais personnaliser leurs tableaux de bord en fonction de leurs besoins et combiner des données externes avec des données corporate internes. Ils peuvent également interagir avec un grand éventail d’outils de visualisation puissants.Aujourd’hui, les tableaux de bord se font en temps réel, et sont de fait particulièrement utiles pour l’affichage de données opérationnelles. Les utilisateurs peuvent par ailleurs interagir avec ces tableaux de bord sans avoir à dépendre d’aucune ressource IT en particulier ».Retrouvez l’intégralité de la tribune de B. Gentile, PDG de Jaspersoft sur Le Journal du Net :« La Business Intelligence telle que nous la connaissions n’existe plus » (1)« La Business Intelligence telle que nous la connaissions n’existe plus » (2)