« Les clouds privés doivent être conçus pour s’intégrer avec les clouds hybrides », Le Journal du Net publie en exclusivité une synthèse des recommandations du cabinet de conseil Gartner.

« Le cloud privé (ressources matérielles, stockage, réseau…) bénéficie de qualités intrinsèques élevées en termes de sécurité, couplées à une notion de propriété (et non de mutualisation) appréciée des organisations. Mais, concevoir aujourd’hui un cloud privé sans penser à son ouverture vers d’autres plates-formes de cloud pourrait bien s’avérer être plus un frein qu’un accélérateur au développement d’informatique d’entreprise dans les nuages. C’est en tous cas ce qu’avance le Gartner dans son étude « Design Tour Private Cloud With Hybrid In Mind ». »« La plupart des services de cloud privé et communautaire vont évoluer au fil du temps vers un modèle hybride. A savoir aussi bien des clouds privés internalisés combinés à des clouds privés hébergés, que des clouds privés internalisés combinés à des clouds publics hébergés, ou encore des clouds privés hébergés combinés à des clouds publics hébergés. (…) »« Mêlant aussi bien ressources physiques et virtuelles, publiques et propriétaires que des ressources internalisées ou hébergées, les services de cloud hybrides sont tout juste naissants. Tout comme les technologies permettant de faire le pont entre les services de cloud sur sites et hébergés. »« Pour autant, les prédispositions des entreprises pour recourir au cloud hybride sont bien présentes. Dans un sondage du Gartner réalisé sur un corpus de 104 répondants-clients, portant sur la maturité en termes de projet de virtualisation, 45% des personnes interrogées ont indiqué avoir mis en place un système pour gérer à la fois des machines virtuelles aussi bien internalisées qu’hébergées. Un premier pas vers le cloud hybride en somme. »Lire l’intégralité de l’article du Journal du Net « Comment négocier le virage du cloud privé vers le cloud hybride »